Le presbytère est à l’époque une maison imposante, comprenant de nombreuses dépendances. Comme la cure est importante, l’édifice l’est aussi. En 1796, le presbytère est vendu et devient une maison privée située rue du Gué Joye.

 

En 1820, suivant « le vœu prononcé des habitants », on décide de construire un nouveau presbytère dans le jardin, à proximité de l’ancienne cure. Le presbytère que nous connaissons sera terminé et habité en 1825. Il abrite maintenant les pèlerins de Compostelle.